الاثنين، 29 يوليو 2013

Des que vous rentrez dans les ruelles du camp des réfugiés palesténien de Jabalya



Des que vous rentrez dans les ruelles du camp des réfugiés palesténien de Jabalya,

vous vous rendez compte que vous êtes devant l'une des plus grandes agglomérations du monde. Ceci non pas seulement par ce qu'il est surpeuplé d'hommes, d'enfants mais aussi parce que la misére, la souffrance et la privation y sont intenses. Ce qui, loin de les faire résigner, leur donne toujours la force d'un regard optimiste et la croyance à un avenir meilleur.

Jabalya couvre un quard d'hektar, dont les habitants selon la derniére statistique de l'agence des réfugiés UNRWA comptent 120 milles personnes. Ce qui est un surcharge si l'on prend en considération l'étendue de cette région. Ce camp contient d'autres camps et quartiers. On y trouve de nombreux enfants. Cet encombrement est manifeste dès l'allure éxtérieure de cette région: les gens sortent de leur demeures pour respirer un peu d'air et s'exposer au soleil.

"On cherche une réalité plus belle et brillante, et un avenir qui dépasse la douleur et l'angoisse des bons vieux jours et des siécles précédentes. Nous espérons rejoindre notre espérance dans notre belle histoire quand nous étions forts et dominants. Mais la réalité est chocante et doulérante et le fait de penser qu'un visiteur, un auteur ou un cameraman peut la changer ne fait qu'accentuer la dureté de notre situation. Nos feuilles sont remplies des histoires saturés par des tristesses et des souvenirs doulerantes, dont le derniére est la commémoration de la détresse il ya quelques jours" Affirment quelques jeunes.

Voilà la scéne qui se répéte sans cesse dans le marché du camp

Un enfant tenant dans sa main un morceau de pain, est assis sur le sol auprés d'une chiminée. Il reste ainsi assis pendant de longe heures pour vendre quelques grains de maîs préparées sous l'effet d'un feu assez ardent pour être supporté même par des adultes.

Une fille pareille à une fleur pâle, se penche sur la fênetre. Elle ne rejoint pas l'école même à l'âge de 11ans, elle est condamnée donc à rester prisonniére de l'ignorance et de l'inalphébitisme. Toute sa vie serait au service de ces parents. Lesquels sont agés et malades. Sarra gorab, 11ans.

L'affaire politique ne regarde ni les jeunes, ni les enfants. Ceux-ci pensent que la politique et l'économie sont le propre des adultes. Iles restent contonnés dans leur maisons jusqu'au coucher du soleil. Le moment de leur sortie pour jouer, se relaxer afin d'apaiser leur douleur.

Dresser la réalité par le biais des jeux

"Les enfants viennent de tout endroit à ce petit jardin avec leur grands ambitions et rêves. Ils s'occupent de ces jeux comme si ils s'occupent de leurs rêves, même s'il n'ya pas d'espoir dans l'horizon" Tarek Hamad, 16 ans.

Les enfants jouent le volly-ball dans un endroit trés étroit, entouré par le mal, et à leur côté une écurie. "Ces conditions assez graves ne privent pas quelques spectateurs de suivre le mutch de volley-ball", affirme Mahmoud Ali, 14 ans.

Quant à Tarek, l'un des joueurs de l'équipe de volley-ball, qui est aussi un élément dans le club local, il ne posséde pas le minumum de dispositions materielles pour pratiquer son jeu préféré. Il joue dans une place de sable remplie de verre de petites pierres qui lui fait mal dans les pieds.

"J'habite ici dans dans ce camp, dans cette terrible situation, et je sais que j'ai un rêve difficile à réaliser, toutefois je veux jouer le volley-ball même dans ces conditions difficiles et j'estime que je serait proffessionel dans ce jeu, un jour. Les clubs, ici ne donnent pas les exigences minimales pour les joueurs, sirtout que le volly-ball n'est pas assez célébre. Ainsi qu'ils nont pas des programmes pour s'occuper des joueurs débutants. Ils n'acceptent que ceux que ceux qui sont prés physiquement et techniquement, une condition difficile surtout pour ceux qui habitent auprés du sahar, dont la terre est pleine de sable et qui n'est pas valide que pour être un terrain du chute des bombes de la colonisation israélienne", affirme Tarek.

La fin du route dans le camp:

la dernière scene enrigestrée par le caméra dans cet enfer est une image d'un petit enfant de 9ans. Une image réduisant toute une histoire ambitieuse de ce dernier qui expose chaque jour des glaces pour gagner de l'argent qui lui permet d'acheter un téléphone portable à sa mére. Fouad Samir reste chaque jour 6heurs afin de vendre des glasses de somme de 3dollars, il va falloir 9 jours de travail pour acheter ce potble qui a pour prix 26 dollars. Il veut peindre un sourire sur le visage triste de sa mère.